L’entreprise prépare une entrée en bourse dès 2026, qui pourrait la valoriser à plus de 1 000 milliards de dollars, portée par sa restructuration en entreprise d’intérêt public et son partenariat renforcé avec Microsoft. Cette opération marquerait un tournant majeur pour l’écosystème mondial de l’IA.
En parallèle, OpenAI a lancé ChatGPT Atlas, un navigateur web dopé à l’IA générative, actuellement disponible sur macOS. Conçu pour révolutionner la recherche en ligne, il propose une navigation automatisée, une interaction en langage naturel et une gestion intelligente de l’historique. Avec cette initiative, OpenAI entend concurrencer directement Chrome, Safari et Firefox, affirmant sa volonté d’étendre son influence bien au-delà du champ de l’IA.
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Le Conseil d’État a confirmé la sanction de 8 millions d’euros infligée par la CNIL pour l’usage de traceurs publicitaires sans consentement explicite entre 2020 et 2021, concernant plus de 27 millions d’utilisateurs iPhone.
Dans une autre affaire, Apple devra verser près de 39 millions d’euros à Bouygues Telecom, Free et SFR pour des pratiques anticoncurrentielles liées à des clauses abusives dans la distribution des iPhone. Ces décisions renforcent les tensions entre Apple et l’écosystème mobile français, illustrant les critiques croissantes sur son contrôle du marché et de l’App Store.
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L’Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité a lancé un outil d’IA développé avec Gemini, l’IA de Google, pour renforcer le contrôle des publicités audiovisuelles sur sa plateforme. Basé sur les règles déontologiques de l’organisme, cet outil automatise la détection des manquements (mentions légales, écologie, comportements responsables) tout en maintenant une analyse humaine. L’objectif est d’accélérer et fiabiliser l’examen des campagnes publicitaires, en permettant aux juristes-conseils de se concentrer sur les cas les plus complexes. Cette initiative marque une étape importante dans la modernisation de la régulation publicitaire, et ouvre la voie à une intégration plus large de l’IA dans les processus de conformité du secteur.
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Initialement conçu pour remplacer les cookies tiers et instaurer un nouvel équilibre entre publicité ciblée et respect de la vie privée, le Privacy Sandbox de Google entre dans une nouvelle phase. Le géant a annoncé le retrait de plusieurs API jugées peu utilisées, dont Attribution Reporting et Protected Audience, afin de se recentrer sur des solutions plus matures comme CHIPS et FedCM, qui visent à concilier mesure publicitaire et protection des données.
La CMA britannique a par ailleurs levé sa surveillance du projet, estimant que les risques pour la concurrence étaient désormais réduits. Une évolution qui illustre la difficulté pour Google de concilier innovation publicitaire, contraintes réglementaires et adoption par les acteurs du marché, tout en laissant entrevoir une possible nouvelle ère de standardisation de la publicité post-cookies.
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